Le Festival

La belle et la bête

 

ADAPTATION Elsa Grzeszczak et Sacha Todorov
MISE EN SCÈNE Elsa Grzeszczak

DISTRIBUTION
Pauline Bolcatto : La Belle
Clovis Fouin : La Bête / Avenant
Philippe Canales : Le père
Elsa Grzeszczak : Adélaïde, la sœur / La mère

 

La Belle et La Bête est une histoire qui questionne la rationalité de nos choix et de nos désirs face à notre monde, qui devient chaque jour plus violent dans le nivellement des consciences vers la « normalité ». Il est un appel à la liberté que nous devons nous octroyer pour nous battre contre les conformismes sociaux et moraux, afin de défendre envers et contre tous nos désirs les plus profonds. Qu’aime t-on lorsqu’on aime ? Qui ai-je le droit d’aimer ?
Ces personnages avancent dans le jardin obscur de leurs sentiments. C’est une ode à notre part animale et instinctive, une histoire où la vérité des désirs peut naître parce qu’à l’abri dans la forêt et à l’orée de la civilisation. Il y a certaines vérités qui ne peuvent s’avouer que dans le secret de la pénombre. La naissance de cet amour féroce effraye autant qu’elle envoûte, mais comme il est dit dans ce conte : « Il faut parfois savoir sauter et tomber pour voir ce qu’il y a au fond des choses…
Où que tu sois, creuse profondément ! Les sources sont toujours sous terre. ».
Ce spectacle sera un cri pour apprivoiser nos peurs et nos désirs. Un cri, dans cette fête où l’on dansera l’inconsolable tristesse de ne pouvoir comprendre l’autre, de retrouver un peu du langage « du cœur », dans les fougères et au clair de lune, loin des pères, des maîtres et des Lois. La limite de nos rêves est celle que nous nous construisons. Alors, quoi de mieux que le ciel de Fontaine-Guérin pour entendre résonner la promesse de leur amour inconditionnel.

Elsa Grzeszczak

Falstafe / Novarina

 

TEXTE Valère Novarina, d’après William Shakespeare
ADAPTATION ET MISE EN SCÈNE Lazare Herson-Macarel
ACCOMPAGNEMENT VOCAL Antoine Philippot
CONSEIL PERCUSSIONS Baptiste Chabauty
SCÉNOGRAPHIE ET COSTUMES Alice Duchange
LUMIÈRE Jérémie Papin
RÉGIE GÉNÉRALE Thomas Chrétien
STAGIAIRE MISE EN SCÈNE Isham Conrath
ADMINISTRATION/PRODUCITON Lola Lucas
PRODUCTION/DIFFUSION Caroline Namer

PRODUCTION Compagnie de la jeunesse aimable. 
CO-PRODUCTION Nouveau Théâtre Populaire (NTP), Théâtre Sorano – Jules Julien de Toulouse et NTA, CDN d’Angers. Avec l’aide à la création de la Région Pays-de-la-Loire et le soutien de la Région Ile-de-France. Avec la participation du Jeune Théâtre National. En résidence de création au Théâtre Paris Villette.
Spectacle créé au Festival In d’Avignon du 6 au 11 juillet 2014.

DISTRIBUTION
Joseph Fourez : Falstafe
Julien Romelard : Le Prince / Percy
Sophie Guibard : Pistole / Worcester
Philippe Canales : Le Roi
Morgane Nairaud : L’Hôtesse

Spectacle en itinérance :

  • Samedi 26 juillet à 20h30 à Charcé-Saint-Ellier-sur-Aubance (Le Présbytère)
  • Vendredi 1er août à 20h30 à Saint-Rémy-la-Varenne (Le Prieuré)
  • Samedi 2 août à 20h30 à La Ménitré (La Couette)
  • Vendredi 15 août à 16h à Beaufort-en-Vallée (La Chapelle)
  • Samedi 16 août à 16h à Mazé (Le Méteil)
  • Dimanche 17 août à 16h à Brion (Le Moulin de la Rivière – Peggy Paint Ranch)
  • Vendredi 22 août à 16h à Ambillou-Château (Troglo-Rêve : 3 rue des Mazières)
  • Samedi 23 août à 16h à Chaudefonds-sur-Layon (Lieu-dit Saint Charles)
  • Dimanche 24 août à 16h à Baugé (Les Grands Moulins : 2 rue de la Fontaine).

 

Pour la première fois de son histoire, le Nouveau Théâtre Populaire joue l’œuvre d’un auteur vivant ! Partant de la pièce Henri IV, de Shakespeare, le jeune Valère Novarina nous offre un poème comique foisonnant et libérateur, au centre duquel est la figure de Falstafe : légendaire soldat obèse et fanfaron, âme damnée du jeune Prince Henry, et ardent défenseur du Vice sous toutes ses formes. L’aventure des représentations en itinérance, initiée l’année dernière avec Othello, se poursuit de façon festive : des lieux atypiques, cinq acteurs déchaînés, et un poète témoignant avec force de l’éternelle vitalité de notre langue. Le spectacle peut commencer !
Les chroniques rapportent qu’en 1600, les premières représentations d’Henri V furent interrompues par les cris du public réclamant : «Falstafe ! Falstafe !». Le public du Globe avait soif de retrouver sa nouvelle idole : le gros Falstafe – l’ivrogne, le menteur, l’irresponsable – qui résume à lui seul tous les vices de l’humanité. Pourquoi ce désir ? Le public avait compris, ce grand enfant : Falstafe, c’est le théâtre ! C’est une connaissance plus ancienne et plus profonde que celle qui est renfermée dans les livres, une sagesse située bien au-delà, ou en deçà, du Bien et du Mal. C’est l’incarnation du Gai Savoir. C’est la connaissance essentielle qui fait le désir de Faust. C’est cette connaissance dont personne n’est exclu, qui est permise à toutes les âmes intactes. C’est un certain art de vaincre la mort en la jouant. Ce plaisir essentiel du théâtre – universel, inné, unique, nécessaire et consolant – me semble une raison suffisante pour monter Falstafe.
D’autre part, Falstafe est l’oeuvre d’un poète vivant. Réécrivant Henry IV, Novarina nous livre une grande œuvre de langue française, de celles qui n’utilisent pas la langue ; mais l’explorent, l’éprouvent, l’abîment, l’abyment, l’étendent et l’inventent. Cette langue instinctive et prolixe nous demande de remonter aux origines de notre vocation d’acteur afin de tendre un miroir au public, et de rendre hommage à sa profonde sagesse : vivre suffit.
Enfin, Falstafe est le récit d’un parcours initiatique, avec ses choix, ses renoncements, ses victoires sur soi-même. Notre spectateur s’identifiera à coup sûr au jeune Prince. Le futur Henry V, tiraillé entre Falstafe et Bolingbroke, entre un père joyeux et un père déçu, remet toujours l’âge adulte au lendemain. C’est la figure mythique du Cancre – il en a l’insouciance, le sens du rythme, l’amour des petites choses, la haine de l’ennui. C’est à ceux-là que je voudrais adresser la mise en scène de Falstafe. C’est avec eux que je voudrais explorer l’improbable, l’inhabitude, l’interdit. Comme l’écrit souvent Novarina, il s’agit pour les acteurs de s’émerveiller ensemble d’être des animaux parlants, et de «sortir d’homme.» Il sera bien temps, plus tard, au terme de la pièce comme au terme de l’enfance, d’endosser son lourd costume d’adulte.
Je rêve les représentations de Falstafe comme une fête – une vraie fête, avec son banquet, ses guirlandes de lumière et son orchestre improvisé. Un espace et un temps entièrement dévolus à la transgression des conventions admises, à la folie. Une fête qui aurait la même puissance symbolique, la même force de bouleversement spirituel qu’un jour de Carnaval – quand les mendiants s’habillent en rois et les rois en mendiants, et que pour une heure enfin les derniers sont les premiers.

Lazare Herson-Macarel

La Cerisaie / Tchekhov

TRADUCTION André Markowicz et Françoise Morvan
MISE EN SCÈNE Julien Romelard
COLLABORATION ARTISTIQUE
Joseph Fourez

DISTRIBUTION
Pauline Bolcatto : Lioubov Andreevna
Claire Sermonne : Ania
Morgane Nairaud : Varia
Philippe Canales : Gaev
Emilien Diard-Detœuf : Lopakhine
Lazare Herson-Macarel : Trofimov
Clovis Fouin : Pichtchik
Sophie Guibard : Charlotta
Baptiste Chabauty : Epikhodov
Elsa Grzeszczak : Douniacha
Frédéric Jessua : Firs
Julien Campani : Iacha

Anton Tchekhov écrit La Cerisaie en 1903 dans une Russie en pleine transition, à la veille de la révolution, alors qu’il se meurt de la phtisie. Faible et en retraite loin de la capitale, il questionne cet instant fragile où la communauté est face à l’imminence d’un bouleversement. Comment construire un nouvel ordre sans pour autant sacrifier ce qui fait notre identité ? Qu’est-on prêt à détruire pour cela ? Faut-il abattre notre passé pour construire notre futur ? Sans aborder ces questions frontalement, Tchekhov trace le portrait saisissant d’une société en mouvement à travers ses personnages et leur complexité humaine ; c’est dans ce contexte que nous créerons Notre Cerisaie.
Monter Tchekhov au NTP, à Fontaine-Guérin, c’est exprimer une fois de plus notre envie de nous confronter aux grands auteurs et de faire vivre les oeuvres majeures du répertoire.
Monter La Cerisaie aujourd’hui, c’est nous permettre de révéler le bouleversement que nous traversons au sein du NTP avec le public. A travers le récit de la vente de cette Cerisaie, nous racontons notre histoire, la re-construction sincère et joyeuse de ce qui fait l’essence de notre démarche. Construction qui s’accompagne bien entendu de doutes, de questionnements, de désirs, d’élans de beauté et de l’espoir possible d’un nouveau lieu de théâtre.
Monter La Cerisaie aujourd’hui, c’est affirmer le travail de notre troupe, notre manière d’interroger le théâtre ici face à ce public, parce que tout se fera à la vue des spectateurs.
Monter La Cerisaie aujourd’hui, c’est raconter l’histoire intime d’un auteur de théâtre écrivant son dernier chef-d’œuvre ; alors qu’il se meurt, il nous laisse non dans la tristesse de sa disparition mais dans la célébration de son héritage.
Monter La Cerisaie au NTP est une nécessité pour nous.

Julien Romelard

hamlet / shakespeare

 

TRADUCTION Yves Bonnefoy
MISE EN SCÈNE Léo Cohen-Paperman
COLLABORATION ET PIANO Sacha Todorov

DISTRIBUTION :
Valentin Boraud : Hamlet
Frédéric Jessua : Claudius
Julien Campani : Le Spectre / le comédien
Morgane Nairaud : Gertrude
Antoine Philippot : Polonius
Clovis Fouin : Laërte
Claire Sermonne : Ophélie
Baptiste Chabauty : Horatio
Joseph Fourez : Guildenstern / Francisco / le fossoyeur
Philippe Canales : Rosencrantz / Bernardo

 

Hamlet raconte l’histoire d’un jeune homme qui a perdu son père – assassiné par son propre frère, Claudius – et sa mère Gertrude – qui épouse ce même Claudius en secondes noces. Shakespeare écrit Hamlet pour dire le scandale de la mort, l’amour absolu d’un fils pour son père et le passage nécessaire et douloureux d’un temps à un autre temps, d’un règne a un autre règne, d’un âge à un autre âge – des ténèbres a la lumière. Pour le NTP aussi, c’est un pas de plus vers un autre âge que de se mesurer à la pièce des pièces.

Après Roméo et Juliette et Macbeth, j’ai le plaisir de continuer mon exploration des grandes tragédies de Shakespeare au Festival du Nouveau Théâtre Populaire. Je crois profondément que Hamlet est la suite de Roméo et Juliette ; comme Roméo, Hamlet est un intellectuel sombre, un jeune premier nocturne, un homme témoin de l’état de crise inhérent à notre condition de mortels. Hamlet est une pièce frontière, qui raconte le moment où l’humanité ne sait plus si elle doit se fier aux croyances anciennes ou au progrès. Le Spectre ou Horatio ? Claudius ou Fortinbras ? C’est aussi ce qui fait, à mon sens, la force de l’oeuvre aujourd’hui. Mettre en scène Hamlet a valeur de manifeste. La pièce de Shakespeare me demande : quel théâtre veux-tu ?

Le Festival du Nouveau Théâtre Populaire apporte une première réponse : nous sommes les artisans du Songe d’une nuit d’été – ceux qui font trop avec trop peu, ceux qui ne sont pas à la mode, ceux qui font naître l’art de la planche de pin maritime, de la guinde en chanvre et du rideau tendu entre deux mâts. Sur ce plateau de bois qu’ils ont construit de leurs propres mains, les acteurs joueront Hamlet.

Hamlet, c’est la nuit. La couleur dominante du spectacle sera le bleu – un bleu profond, philosophique, spirituel – proche de celui qui représente le ciel dans la basilique Saint-Pierre, à Rome. Un bleu de beauté et qui dessine déjà un monde et un ciel en crise. De nombreux éléments de costume et accessoires reprendront ce thème chromatique.

Hamlet fait du théâtre le lieu où les morts reviennent et parlent au vivant – c’est cela qui hante nos nuits, c’est pour cela que cette pièce nous obsède. L’objet central de la représentation sera donc le cercueil – ou plutôt quatre cercueils bleus, qui désigneront à la fois les entrées et sorties, les quatre points cardinaux de la scène (notre Nord est le lointain ; notre Est, le jardin ; notre Ouest, la cour ; et notre Sud, le devant) et feront du Cimetière un lieu familier des spectateurs. Comme pour mieux dire que la Mort et le Théâtre sont les deux horizons qui nous rassemblent pour former une communauté humaine.

Léo Cohen-Paperman

Au théâtre du Champ de Bataille, les 17 avril à 19h30 et 18 avril à 20h30, Clovis Fouin jouera Les Les Cahiers de Nijinski, d’après les écrits du célèbre danseur russe.

Les Cahiers de Nijinski forment un étrange et grand poème, rédigé dans une langue mystique, brute, radicale.

Réservations au 02 41 72 00 94. Informations sur le site du théâtre du Champ de Bataille : www.champdebataille.net

Adresse : 10, rue du Champ de Bataille, 49100 Angers

Venez nombreux !

Une Histoire de Paradis, qui avait été créé au Festival NTP 2012, jouera au Théâtre de Beaufort mardi 15 avril à 10h30 et 15h et au Théâtre du Champ de Bataille à Angers mercredi 16 avril à 16h30.

Souvenez-vous, une Histoire de Paradis, c’est l’histoire d’Atzel qui ne veut pas dormir. Il pose un tas de questions à son père, et finit par la plus importante : il lui demande ce qu’il y a après la vie. Commence alors une folle aventure, lorsque son père lui apprend qu’après la vie, il y a le paradis.

Retrouvez les informations sur ce spectacle ici. Et pour réserver, contactez directement le théâtre du Champ de Bataille à Angers ou le service culturel de Beaufort-en-Vallée.

A bientôt !

Deux acteurs du NTP, Emilien et Julien, participeront à la soirée « So British » sur l’humour anglais en littérature, organisée par la médiathèque La Bulle à Mazé vendredi 11 avril à 19h. Informations et réservations ici.

Venez nombreux !

Le NTP, héritier revendiqué de Jean Vilar, a été représenté cet été au festival d’Avignon « in », berceau du théâtre populaire créé par Vilar lui-même. Du 6 au 11 juillet, nous avons présenté en avant-première Falstafe de Valère Novarina, mis en scène par Lazare Herson-Macarel, à la Chapelle des Pénitents Blancs. C’est une grande fierté !

Plus d’informations sur Falstafe en Avignon : ici

Vous pouvez également écouter les émissions de radio où on parle de Falstafe et du NTP :

« Les carnets de Joëlle Gayot » sur France Culture

France Bleu

RFI (impressions de spectateurs)

« Vous m’en direz des nouvelles » sur RFI

« Des oreilles plein les yeux » sur France Inter

Et vous pouvez également regarder un reportage réalisé par de jeunes critiques :

« Jeunes critiques en Avignon »

 

Vous pourrez ensuite voir ce spectacle en itinérance dans les communes voisines de Fontaine-Guérin entre le 26 juillet et le 24 août (vous trouverez le planning détaillé ici).

Tous les dons que vous nous adressez afin de soutenir l’aventure du NTP sont éligibles au mécénat culturel, et ouvrent droit à la réduction d’impôt.

Pour bénéficier de la réduction d’impôt, rien de plus simple : vous devez joindre à votre déclaration de revenus le reçu fiscal que vous aurez reçu du NTP. Tous vos reçus fiscaux vous seront adressés d’ici à la fin février.

Si vous déclarez vos impôts par Internet, vous n’avez pas à envoyer de justificatif. Lors de votre déclaration, il vous suffira de suivre les indications (remplir la case « dons » avec la somme de votre don, et dans la rubrique « commentaire », indiquer « Nouveau Théâtre Populaire ».

Vous recevrez également un reçu fiscal, que vous devez simplement conserver pour le présenter en cas de demande éventuelle de votre centre des impôts.

 

Petit rappel du dispositif du mécénat culturel :

Pour les particuliers :
• tous les dons consentis au NTP permettent de bénéficier d’une réduction d’impôt égale à 66% des sommes versées, retenues dans la limite annuelle de 20% du revenu imposable.
• cette mesure est assortie d’une possibilité de report de l’excédent du don sur les cinq années suivantes.

Pour les entreprises :
• les entreprises mécènes bénéficient d’une réduction de l’impôt sur les sociétés ou de l’impôt sur le revenu.
• la réduction est de 60% du montant du don effectué en numéraire, en compétence ou en nature, dans la limite de 0,5% du chiffre d’affaires hors taxe
• il y a aussi la possibilité, en cas de dépassement de ce plafond, de reporter l’excédent au titre des cinq exercices suivants.

Seules les entreprises assujetties à l’impôt sur le revenu ou à l’impôt sur les sociétés selon un régime réel d’imposition peuvent bénéficier de cette réduction d’impôt.

Les exploitants soumis au régime des micro-entreprises dont le résultat imposable est déterminé par application d’un pourcentage au montant des recettes déclarées ne peuvent pas en bénéficier.

Les exploitants individuels, soumis à l’impôt sur le revenu, peuvent décider d’effectuer des versements au titre du mécénat soit dans le cadre de leur activité professionnelle soit à titre privé.

Le Nouveau Théâtre Populaire et la Communauté de Communes de Beaufort en Anjou vous proposent trois soirées de lecture pour vous présenter les auteurs de la sixième édition du festival. Poésie, audace, modernité : continuons de grandir ensemble !

Entrée libre pour toutes les lectures. Pour plus d’informations : service culturel de Beaufort en Anjou au 02.41.79.36.12

TCHEKHOV
Mardi 21 janvier à 20h30 à La Bulle à Mazé
16, rue de Verdun, 49630 Mazé
réservations au 02 41 80 61 31

Cet été nous aurons le plaisir de vous présenter La Cerisaie d’Anton Tchekhov sur le plateau Jean Vilar. Il écrit cette pièce en 1903 dans une Russie en pleine transition, à la veille de la révolution. Il meurt quelques mois plus tard. A travers cette œuvre il peint le monde dans sa plus simple vérité. Parce que cette dernière pièce est empreinte de sa vie, de ses œuvres, nous vous invitons à porter un regard sur la diversité de ses écrits et à pénétrer l’univers de cet homme hors du commun.

RABELAIS
Mardi 18 février à 20h30 à la bibliothèque de Beaufort
16, rue de l’hôtel de ville

Venez écouter quelques extraits de Rabelais, l’enfant de Seuilly, le père de Gargantua ! Pour cet été, nous avons fait le pari fou de le jouer dans le français de son époque. Cette lecture pour les petits et les géants sera l’occasion de mesurer la démesure, d’entendre l’inaudible et d’en apprendre un peu plus sur le génie que tout le monde connait un peu, mais que personne ne lit vraiment. Place à Alcofribas Nasier, alias François Rabelais, et à son œuvre gargantuesque !

NOVARINA
Mardi 18 mars à 20h30 à la salle Arthur Besnard à Brion
Derrière la mairie de Brion

Pour la première fois, le Nouveau Théâtre Populaire joue l’œuvre d’un poète vivant ! Il semble donc évident et nécessaire de permettre au public de découvrir l’univers foisonnant et magique de cet auteur : Valère Novarina. Aujourd’hui, son oeuvre est traduite et jouée partout dans le monde. En effet, sa richesse linguistique, philosophique, théologique et comique est inépuisable. Avec Falstafe, qu’il écrit en 1976 et que nous représenterons cet été, le jeune poète pressent ce que sera le travail de sa vie : l’invention verbale galopant après la totalité du monde.