ADAPTATION Pauline Bolcatto et Sophie Guibard MISE EN SCÈNE Pauline Bolcatto
COLLABORATION MUSICALE ET PIANO Sacha Todorov
CAMÉRA ET SON Claire Sermonne, Paul Antony Mille et Arnaud Marten
COSTUMES Manon Naudet
RÉGIE GÉNÉRALE Thomas Chrétien
ADMINISTRATION ET PRODUCTION Lola Lucas assistée de Léonie Lenain
DISTRIBUTION Baptiste Chabauty, Morgane Nairaud, Joseph Fourez, Fredéric Jessua, Elsa Grzeszczak et tous les comédiens de la troupe
« Très Cher, Nous ferez-vous l’honneur de venir pique-niquer avant le spectacle ? L’auteur sera au jardin, avec la foule de la Comédie humaine et de quoi faire bonne chère. Nous allons convoquer quelques cuisiniers pour l’occasion, lire des poèmes, chanter, profiter comme il se doit du grand air, et laisser place à quelques débordements pour qui voudra les voir. Les soirs où se perdront nos Illusions, il y aura de l’Amour. Nous réunirons, le soir suivant, la faune mondaine pour en observer les Splendeurs et les Misères. Et quand tout ne sera plus que Peau de chagrin, il restera nos plus beaux fantômes. Venez, voyez, entendez ce que vous voudrez, je vous espère et vous attends. Je resterai toujours vôtre, Antoinette de Langeais »
© Jean-Michel Delage
aussi en tournée des battages 27 juillet-11 août et en tournée des vendanges 7-16 septembre |
ADAPTATION ET MISE EN SCÈNE Antoine Philippot
COLLABORATION ARTISTIQUE Christophe Rouger et Pierre Lebon
COSTUMES Manon Naudet
RÉGIE GÉNÉRALE Thomas Chrétien
ADMINISTRATION ET PRODUCTION Lola Lucas assistée de Léonie Lenain
DISTRIBUTION
Clovis Fouin, Elsa Grzeszczak, Julien Romelard, Claire Sermonne
Un antiquaire offre au jeune Raphaël un mystérieux morceau de cuir : cette peau, lui dit-il, exauce les vœux de son propriétaire, mais rétrécit un peu à chaque fois. Sans trop y croire, Raphaël l’accepte… Quand Balzac publie La Peau de chagrin, il n’est pas encore l’auteur de La Comédie humaine : pour l’instant, pour lui, pas grand-chose n’a marché. Ici il ne cherche pas à donner le sens de la vie, mais à en prendre la mesure. Quelle quantité de vie a-t-on ? Et si nous le savions, qu’en ferions-nous ? Sur scène, quatre acteurs vous préparent une danse macabre, un feu de joie, un inquiétant banquet où cette peau de chagrin réduira sans rien perdre de son goût.
© Jean-Michel Delage
ADAPTATION ET MISE EN SCÈNE Lazare Herson-Macarel
COLLABORATION ARTISTIQUE Morgane Nairaud
COSTUMES Manon Naudet
RÉGIE GÉNÉRALE Thomas Chrétien
ADMINISTRATION ET PRODUCTION Lola Lucas assistée de Léonie Lenain
DISTRIBUTION
Valentin Boraud, Pauline Bolcatto, Julien Campani, Philippe Canales, Baptiste Chabauty, Thomas Chrétien, Léo Cohen-Paperman, Emilien Diard-Detœuf, Clovis Fouin, Joseph Fourez, Elsa Grzeszczak, Sophie Guibard, Lazare Herson-Macarel, Frédéric Jessua, Morgane Nairaud, Antoine Philippot, Julien Romelard, Claire Sermonne, Sacha Todorov
Avec Splendeurs et misères des courtisanes, la suite directe des Illusions perdues, Balzac nous entraîne dans un roman d’aventures haletant et féroce. Lucien a été sauvé par Carlos Herrera, ancien forçat déguisé en prêtre espagnol. Notre poète est amoureux d’Esther, sublime courtisane assoiffée de pardon et d’amour. Mais Nucingen, richissime banquier d’affaires, rencontre Esther à son tour, et cherche à la conquérir par tous les moyens… Le Paris d’avant la révolution de 1830 devient une jungle où les personnages de La Comédie humaine se livrent une lutte sans merci. Mais regardons d’un peu plus près : ce monde traversé de forces contraires, ce monde de splendeurs et de misères, n’est-ce pas aussi le nôtre ?
© Jean-Michel Delage
ADAPTATION ET MISE EN SCÈNE Léo Cohen-Paperman
ADAPTATION ET COLLABORATION ARTISTIQUE Julien Campani
COSTUMES Manon Naudet
RÉGIE GÉNÉRALE Thomas Chrétien
ADMINISTRATION ET PRODUCTION Lola Lucas assistée de Léonie Lenain
DISTRIBUTION Pauline Bolcatto, Valentin Boraud, Philippe Canales, Julien Campani, Baptiste Chabauty, Emilien Diard-Detœuf, Clovis Fouin, Joseph Fourez, Elsa Grzeszczak, Lazare Herson-Macarel, Frédéric Jessua, Morgane Nairaud, Antoine Philippot, Julien Romelard, Claire Sermonne, Sacha Todorov
Illusions perdues raconte l’histoire d’un jeune homme de province, Lucien de Rubempré. Jeune poète plein d’espérance, il monte à Paris pour trouver la fortune et le succès… Mais le chemin est long. Découragé par ses premiers échecs, Lucien succombe aux sirènes du journalisme. Son ascension sociale se fait alors le miroir de sa chute morale : rapide et implacable. Et le pire est encore à venir.
Dans Illusions perdues, Balzac parle d’une société qui, après les défaites de l’Empire, a abandonné tout rêve collectif. Une société qui se réfugie dans l’individualisme pour jouir de tout : de l’argent, de la politique, du théâtre, de la littérature, de la chair.
C’est cette société de jouisseurs, avec ses gagnants et ses perdants, que nous déploierons devant vous, comme un grand bestiaire humain.
© Jean-Michel Delage
ADAPTATION ET MISE EN SCÈNE Philippe Canales
COLLABORATION DRAMATURGIQUE Sophie Guibard
COLLABORATION MUSICALE Baptiste Chabauty
COSTUMES Manon Naudet
COLLABORATION À LA CONFECTION D’ACCESSOIRES Louise Daligault
RÉGIE GÉNÉRALE Thomas Chrétien
ADMINISTRATION ET PRODUCTION Lola Lucas assistée de Léonie Lenain
DISTRIBUTION
Baptiste Chabauty, Sophie Guibard, Lazare Herson-Macarel
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Et un groupe d’élèves du cycle 3 du Conservatoire d’Angers :
Eva Bernier, Clara Chauvin, Valentine Derinck, Louise Daligault, Matéo Droillard, Natacha Mazé, Simon Lauretti, Nicolas Roux
Pip a huit ans. Il tombe fou amoureux de la jeune Estella au coeur de pierre. Pour la conquérir, il fait le voeu de devenir un grand homme. Empruntant au roman d’aventures et au conte fantastique, Grandes Espérances raconte l’incroyable ascension de ce jeune orphelin, apprenti forgeron. Mais pour changer de vie, doit-on oublier ce qu’on a été ? L’oeuvre de Dickens traverse les mêmes questionnements que celle de Balzac, son contemporain outre-Manche. Il y ajoute son humour anglais et sa poésie mélancolique. En une heure de théâtre, chant, et musique, nous raconterons les dix ans de cette quête initiatique. À l’occasion de ce spectacle choral, les jeunes acteurs du Conservatoire d’Angers rejoignent la troupe du Nouveau Théâtre Populaire ! Petits et grands, ladies and gentlemen, en route pour Londres ! London, là où les rêves se réalisent…
© Jean-Michel Delage
TEXTE ET MISE EN SCÈNE Emilien Diard-Detœuf
COLLABORATION ARTISTIQUE Léo Cohen-Paperman
COSTUMES Manon Naudet
RÉGIE GÉNÉRALE Thomas Chrétien
ADMINISTRATION ET PRODUCTION Lola Lucas assistée de Léonie Lenain
DISTRIBUTION
Frédéric Jessua, Pauline Bolcatto, Sacha Todorov, Julien Campani
Honoré de Balzac paraît un personnage sorti de ses propres romans. Il en a tous les caractères et il connaît toutes leurs turpitudes, comme s’il obéissait dès le départ à la loi de l’œuvre qu’il allait mettre une vie à écrire. Alors raconter la vie de Balzac, c’est comme sauter à pieds joints dans ses livres. Comment, pour survivre, il écrit jusqu’à 30 ans des centaines de mauvais romans sans les signer. Comment, pour un seul livre, on lui ouvre les portes de Paris. Et comment, pour raconter toutes les vies, il finit par y laisser la sienne. Documentaire sur la vie du maître, enquête sur le génie créateur et prologue à notre dixième édition, Honoré, vie balzacienne met en scène un Balzac de tragicomédie face à ses trois démons, l’Amour, l’Argent et l’Art, pour éclairer au soleil de midi le mystère de l’homme qui a mis le monde dans une bougie de minuit.
© Jean-Michel Delage
Le partenariat avec l’Entente-Vallée se poursuit pour sa 7e année consécutive ! Nous vous présenterons un nouveau cycle de lectures. Retrouvez-nous à 20h30 :
En 2018, après 37 créations, et près de 47.000 spectateurs, nous fêterons la dixième édition du festival du Nouveau Théâtre Populaire. La troupe a voulu fêter cet anniversaire en réalisant un de ses plus grands rêves : faire un festival hors cadre, hors format, hors logique, ayant pour principe de rassembler tous les spectacles autour de l’œuvre d’un seul auteur.
Cet auteur, ça sera Balzac !
En août 2018, nous créerons donc :
Parce qu’il est temps de faire la très grande fête ! Nous sommes animés d’une soif formidable de théâtre et nous rêvons depuis longtemps de faire un spectacle–monde ; et nous pensons que le festival du Nouveau Théâtre Populaire est pour cela l’endroit rêvé.
Parce qu’il est visionnaire. D’une certaine façon, ses livres sont notre Genèse. Ils posent les jalons de notre époque et nous permettent de mieux comprendre le monde dans lequel nous vivons aujourd’hui.
Ces romans, malgré leurs différences de tonalité, ont pour trait commun de ne jamais idéaliser ni les personnages, ni le monde dans lequel ils vivent. Individualisme destructeur, égoïsme calculateur, ambitions meurtrières ; règne arrogant du journalisme qui broie la poésie ; emprise du capitalisme financier, qui lie les hommes par des dettes impossibles… Balzac regarde les hommes tels qu’ils sont, sans les magnifier, mais sans les blâmer. Il voit et écrit ce qui est.
Chacune des œuvres choisies est différente, mais toutes participent à l’idée folle de Balzac : recenser de façon totale le monde tel qu’il est. Et toutes participent au coup de génie de la Comédie Humaine ; que chaque œuvre, tout en étant autonome, soit en même temps une partie d’un grand Tout. Et c’est à ce coup de génie que veut rendre hommage cette édition, en faisant en sorte de tisser des échos et des jeux de miroir entre tous les spectacles.
Notre ambition sera de traduire cette soif d’écriture, d’épique, de personnages. Comment ? Par un rythme radicalement vigoureux, par un rapport ludique et désinvolte à l’écriture et par un pont sans cesse jeté entre le passé de l’écriture et le présent du théâtre ; nous tenterons de ressusciter la vigueur balzacienne, si singulière en ceci qu’elle jouit de tout (et surtout d’illusions et de destins tragiques) et ne se désole de rien.