Les Enivrés

Les Enivrés

les enivrés /
viripaev

17, 20, 23, 26, 29 août, 20h30

 

TRADUCTION Tania Moguilevskaia et Gilles Morel (Edition Les Solitaires Intempestifs)
MISE EN SCÈNE Julien Romelard
COLLABORATION ARTISTIQUE Joseph Fourez
COSTUMES Zoé Lenglare et Manon Naudet
RÉGIE GÉNÉRALE
Thomas Chrétien
ADMINISTRATION ET PRODUCTION Lola Lucas assistée de Léonie Lenain

DISTRIBUTION

Pauline Bolcatto, Valentin Boraud, Hélène Bressiant, Baptiste Chabauty, Céline Chéenne, Léo Cohen-Paperman, Emilien Diard-Detœuf, Clovis Fouin, Elsa Grzeszczak, Frédéric Jessua, Morgane Nairaud, Antoine Philippot, Sacha Todorov, Charlotte Van Bervesselès

 
SynopSiS

Les Enivrés raconte, entre comédie et tragédie, la rencontre de quatorze personnages « ivres jusqu’au cul » qui découvrent et s’avouent, dans un état pitoyable et ridicule, des vérités extrêmes et magnifique.

Ces héros de notre époque (manager, mannequin, banquier, directeur de festival…) chutent dans la boue, renversent des tables, essayent d’entendre le chuchotement du Seigneur, trompent leur conjoint, fêtent leur mariage, s’endorment habillés dans une baignoire, dansent pour réussir à se tenir debout, cherchent désespérément de la viande dans le frigo d’un restaurant végétarien, répètent des phrases tiré d’un film, croient qu’ils peuvent marcher sur l’eau, fêtent l’anniversaire d’une mère morte qui ne supportait pas l’alcool (cette même mère tué par son chat), se marient devant un abribus, pleurent, rient, boivent… essayent désespérément de se tenir debout… A quoi tout cela sert-il ? Cela a t-il du sens ? Ils cherchent désespérément une vérité, leur vérité. Ils cherchent à tenir debout dans ce monde. Il n’y a pas d’intrigue principale, pas d’histoire. C’est un lot de rencontre. Des démons qui se confrontent, s’aiment.

C’est drôle, c’est profond, c’est ludique, c’est violent, c’est tourné, surtout, vers l’amour.

 

Crédit photo : Thierry Cantalupo

 

Festival 2019