16 Juin Illusions perdues
illusions perdues /
balzac
18, 21, 24, 27, 30 août, 20h30
ADAPTATION ET MISE EN SCÈNE Léo Cohen-Paperman
ADAPTATION ET COLLABORATION ARTISTIQUE Julien Campani
COSTUMES Manon Naudet
RÉGIE GÉNÉRALE Thomas Chrétien
ADMINISTRATION ET PRODUCTION Lola Lucas assistée de Léonie Lenain
DISTRIBUTION
Pauline Bolcatto : Eve Chardon puis Séchard / Horace Bianchon
Valentin Boraud : Lucien Chardon, dit de Rubempré
Philippe Canales : Vautrin, dit Carlos Herrera
Julien Campani : Etienne Lousteau
Baptiste Chabauty : David Séchard / Michel Chrestien
Emilien Diard-Detœuf : Emile Blondet
Clovis Fouin : Andoche Finot
Joseph Fourez : Les Éditeurs (L’Éditeur, Doguereau, et Dauriat)
Elsa Grzeszczak : Louise de Bargeton
Lazare Herson-Macarel : Raoul Nathan
Frédéric Jessua : Honoré de Balzac
Morgane Nairaud : Coralie / Florine
Antoine Philippot : Baron Sixte du Châtelet
Julien Romelard : Daniel d’Arthez
Claire Sermonne : La Marquise d’Espard
Sacha Todorov : Matifat / Camusot
Illusions perdues raconte l’histoire d’un jeune homme de province, Lucien de Rubempré. Jeune poète plein d’espérance, il monte à Paris pour trouver la fortune et le succès… Mais le chemin est long. Découragé par ses premiers échecs, Lucien succombe aux sirènes du journalisme. Son ascension sociale se fait alors le miroir de sa chute morale : rapide et implacable. Et le pire est encore à venir.
Dans Illusions perdues, Balzac parle d’une société qui, après les défaites de l’Empire, a abandonné tout rêve collectif. Une société qui se réfugie dans l’individualisme pour jouir de tout : de l’argent, de la politique, du théâtre, de la littérature, de la chair.
C’est cette société de jouisseurs, avec ses gagnants et ses perdants, que nous déploierons devant vous, comme un grand bestiaire humain.
crédit photo : Jean-Michel Delage