Festival 2019

les possibilités /
barker

22, 28 août, 20h30

aussi en tournée des battages
les 26, 27 juillet, 2, 3, 9, 10 août

 

 

TRADUCTION Sarah Hirschmuller et Sinéad Rushe
MISE EN SCÈNE
 Antoine Philippot
COLLABORATION ARTISTIQUE Léo Cohen-Paperman
COSTUMES Zoé Lenglare et Manon Naudet
RÉGIE GÉNÉRALE
Thomas Chrétien
ADMINISTRATION ET PRODUCTION Lola Lucas assistée de Léonie Lenain

DISTRIBUTION
Hélène Bressiant, Julien Campani, Céline Chéenne, Emilien Diard-Detœuf, Sophie Guibard

sYNOPSIS

Les Possibilités, ce sont sept tragédies. Ce sont sept situations extrêmes, amorales et poétiques mettant en scène des tisserands, des employés de bureau, des soldats, des terroristes, l’empereur Alexandre, Judith de Bethulia, un tortionnaire ou un bouquiniste…
Howard Barker déconstruit, avec urgence, humour et cruauté, notre morale collective, nos jugements hâtifs et nos réflexes de pensées.
Ces possibilités, ce sont les nôtres, celles qui nous restent dans un monde qui nous échappe, celles qui nous restent devant l’horreur et dans la catastrophe ; ce sont elles qui rendent notre condition humaine complexe, paradoxale – mais encore possible.
Pour peindre ces possibilités et leurs renversements, presque rien, un plateau nu et des acteurs, juste eux et nos imaginaires ; pour qu’une autre fin du monde soit possible.


Crédit photo : Thierry Cantalupo

 

Festival 2019

des châteaux qui brûlent / bertina

18, 21, 24, 27, 30 août, 20h30

 

Rencontre avec Arno Bertina 

24 août, 18h

 

D’après le roman Des châteaux qui brûlent d’Arno Bertina (Éditions Gallimard)
ADAPTATION
Julien Campani et Arno Bertina
MISE EN SCÈNE
 Julien Campani
COLLABORATION ARTISTIQUE Sacha Todorov
COSTUMES Zoé Lenglare et Manon Naudet
CHOREGRAPHIE Georgia Ives
CONSTRUCTION TETE DE POULET
Jean-Robert Lefebvre
RÉGIE GÉNÉRALE
Thomas Chrétien
ADMINISTRATION ET PRODUCTION Lola Lucas assistée de Léonie Lenain

DISTRIBUTION
Pauline Bolcatto, Valentin Boraud, Hélène Bressiant, Baptiste Chabauty, Céline Chéenne, Emilien Diard-Detœuf, Clovis Fouin, Joseph Fourez, Sophie Guibard, Frédéric Jessua, Antoine Philippot, Sacha Todorov, Charlotte Van Bervesselès

 
SynopSiS

La scène est en France, à l’Ouest : menacés de licenciement massif, les salariés d’un abattoir séquestrent le secrétaire d’Etat à l’Industrie. C’est l’histoire d’un champ de bataille. Comme une loupe poétique déposée sur la carte de la guerre économique. Autour de l’usine s’organisent la presse, la police et la cellule de crise du pouvoir. Dedans : une assemblée s’invente, populaire et sans chef. Le romancier Arno Bertina nous invite à un théâtre de la bigarrure : tragique ou comique, réaliste ou fantaisiste, cathartique ou épique… de guerre ou de carnaval. Entrons dans l’abattoir avec lui pour voir brûler le feu de l’intelligence collective – quand les voix se libèrent et les corps s’agrandissent.

 

© Thierry Cantalupo

 

Festival 2019

les enivrés /
viripaev

17, 20, 23, 26, 29 août, 20h30

 

TRADUCTION Tania Moguilevskaia et Gilles Morel (Edition Les Solitaires Intempestifs)
MISE EN SCÈNE Julien Romelard
COLLABORATION ARTISTIQUE Joseph Fourez
COSTUMES Zoé Lenglare et Manon Naudet
RÉGIE GÉNÉRALE
Thomas Chrétien
ADMINISTRATION ET PRODUCTION Lola Lucas assistée de Léonie Lenain

DISTRIBUTION

Pauline Bolcatto, Valentin Boraud, Hélène Bressiant, Baptiste Chabauty, Céline Chéenne, Léo Cohen-Paperman, Emilien Diard-Detœuf, Clovis Fouin, Elsa Grzeszczak, Frédéric Jessua, Morgane Nairaud, Antoine Philippot, Sacha Todorov, Charlotte Van Bervesselès

 
SynopSiS

Les Enivrés raconte, entre comédie et tragédie, la rencontre de quatorze personnages « ivres jusqu’au cul » qui découvrent et s’avouent, dans un état pitoyable et ridicule, des vérités extrêmes et magnifique.

Ces héros de notre époque (manager, mannequin, banquier, directeur de festival…) chutent dans la boue, renversent des tables, essayent d’entendre le chuchotement du Seigneur, trompent leur conjoint, fêtent leur mariage, s’endorment habillés dans une baignoire, dansent pour réussir à se tenir debout, cherchent désespérément de la viande dans le frigo d’un restaurant végétarien, répètent des phrases tiré d’un film, croient qu’ils peuvent marcher sur l’eau, fêtent l’anniversaire d’une mère morte qui ne supportait pas l’alcool (cette même mère tué par son chat), se marient devant un abribus, pleurent, rient, boivent… essayent désespérément de se tenir debout… A quoi tout cela sert-il ? Cela a t-il du sens ? Ils cherchent désespérément une vérité, leur vérité. Ils cherchent à tenir debout dans ce monde. Il n’y a pas d’intrigue principale, pas d’histoire. C’est un lot de rencontre. Des démons qui se confrontent, s’aiment.

C’est drôle, c’est profond, c’est ludique, c’est violent, c’est tourné, surtout, vers l’amour.

 

Crédit photo : Thierry Cantalupo

 

Festival 2019